Trois jours ont passé depuis la cyberattaque contre l’hôpital d’Armentières. On retrouve, dans sa com de crise, des motifs similaires à celle qu’avait orchestrée son homologue de Corbeil-Essonnes, lui aussi touché un week-end.
Trois jours ont passé depuis la cyberattaque contre l’hôpital d’Armentières. On retrouve, dans sa com de crise, des motifs similaires à celle qu’avait orchestrée son homologue de Corbeil-Essonnes, lui aussi touché un week-end.